[Luvalis] L'Espoir de réussir l'épreuve

Lorsque la jeune fille ouvrit ses beaux yeux bleus, elle ce rendit compte qu'elle ce trouvait dans un endroit très lumineux, qui d'ailleurs, l'éblouissait un peu. Elle pensait tout d'abord ce trouver au Palier de l'Eveil, mais n'y trouvant pas de mosaïques représentant des princesses au coeur pur, comme elle l'avait lu dans les journaux de ses parents, elle comprit qu'elle n'avait pas été téléportée là-bas, ce qui ui fit ce poser des questions. Elle ne comprenait pas pourquoi la barrette l'avait envoyée ici. Ne restant pas inactive, elle fit plusieurs pas en avant.

"Youhou ! Il y a quelqu'un ? J'ai besoin d'un guide !"

C'est peu de temps après avoir crié ces mots, qu'elle pu entendre un rire, qui la fit sursauter, et en même temps, la rassura, car s'il y avait quelqu'un pour l'aiguiller tout allait bien ce passer, elle y croyait très fortement. Sans prévenir, une silhouette noir fit son apparition devant la jeune fille. Mélin ce mit alors à songer que la personne qui ce tenait devant elle était une fille, à cause de sa posture, et de ses deux attributs, qui étaient des aguments assez convainquant pour lui indiquer que cet être était du sexe féminin, et cela ce confirma lorsqu'elle prit la parole.

- Alors comme ça, on vient ce présenter pour obtenir son pouvoir de gardienne ?

"Euh... A la base, non, mais puisque je suis là, autant tenter ma chance"

- Dans ce cas, sache qu'il ne te sera pas donné gratuitement. Tu devras passer une épreuve ardue pour le mériter.

"Je n'en doutais pas une seule seconde ! Alors c'est quoi l'épreuve ? C'est un test de personnalité pour découvrir ce que je représente et à quoi je suis liée ? Non ! Mieux ! C'est un test sur l'amitié et si je répond faux je suis recalée ! C'est bien ça madame ?"

En entendant la voix à la fois neutre et bienveillante de la silhouette, la miss fut gênée, car à vrai dire, elle n'était pas du tout préparée psychologiquement à participer à une épreuve pour retrouver son pouvoir de gardienne, car là, elle était plus dans l'esprit de vouloir retrouver sa familel pour la protéger. Cependant, puisqu'elle était là, et que sûrement elle ne pourrait peut-être pas s'échapepr tant que tout ceci ne serait pas fini, elle préféra jouer l'honnêteté et dire franchement ce qu'elle pensait, ce qui eut la'ir de faire sourire son interlocutrice. En l'entendant lui dire qu'elle allait passer une épreuve très difficile, Mélina essaya de deviner ce qu'elle allait être, ce qui amusa la femme, qui fini par rire à nouveau. Dès qu'elle pu ce reprendre, elle reprit la parole.

- Il n'est pas rare que certains experts procèdent à ce système pour dénicher les futurs héros, mais moi, je fonctionne autrement.

"Ah bon ? Dans ce cas, qu'est-ce que je dois faire ?"

- Au moment le plus délicat, il te faudra prendre une décision qui validera ou non ton épreuve.

"Dans ce cas, si je dois choisir, pourquoi ne pas faire ça à présent ?"

- Jeune fille, c'est la deuxième fois que je te prend en flagrant délit ! Tu désires accélérer les choses et pour réussir, ce n'est pas la bonne méthode !

"Mais madame ! Tout le monde est en danger à cause des Utopiens, je ne veux pas gaspiller des précieuses minutes qui pourraient servirent à éviter le pire !"

- Lorsque tu reviendras auprès des tiens, peu de temps ce sera écoulé. Il est primordiale que tu fasses ton épreuve du début jusqu'à la fin sans brûler les étapes.

"Oh super ! Alors si vous dites que mon absence ne sera pas longue, je vous crois ! Bon, là vous m'avez motivée ! Je suis prête !"

- Parfait. Bonne chance jeune fille.

Quand Mélina demanda à passer tout de suite à l'étape finale de son épreuve, la voix devint sèvre, ce qui lui fit comprendre qu'elle avait fait une bêtise, et en l'écoutant, elle comprit que cela ne valait pas la peine d'essayer d'accélérer les choses. En entendant son inquiètude, la voix ce radoucit, et elle lui donna une information qui réjouit la fille de Sora et de Kairi. Semblant être enfin prête à accomplir sa tâche, elle le fit savoir à la silhouette, qui lui dit une dernière phrase avec beaucoup de sérieux. C'est alors que le décort ce changea petit à petit.

L'endroit lumineux c'était petit à petit transformé en une place qui semblait vieille, et qui était à présent peuplée de gens. Mélina avait le sentiment de connaître cet endroit, ce qui lui faisait ce demander d'où lui venait cette impression de déjà vu. Ses autres interrogations ce posèrent sur le fait qu'elle voyait des hommes tenir des gens menottés, et qui la faisait passer devant elle. En plus, elle avait également l'impression de ce sentir faible, comme si elle n'avait pas mangé, bu ou dormit depuis des semaines, ce qui lui faisait encore plus ce demander ce qui était en train de lui arriver.

- Majesté Mélias Rose, vous avez fait votre choix ? C'est la deuxième fois que nous vous montrons tous ceux qui ce sont aventuré sur nos terres afin de vous sauver, et que nous avons capturé. Répondez-nous enfin ! Qui sont habituellement des habitants innocents et qui font réellement partie de la nouvelle alliance qui ce sont allié afin de nous exterminer, nous les révolutionnaires qui nous, nous donnons corps et âmes afin de faire de Luvalis un monde plus juste sans dictature ! Vous avez de la chance que vous nous serviez d'appât et que vous sachiez tout sur tout, afin d'exterminer tous ceux qui s'opposent à nos idéaux ! Alors ? Qui ? Qui dans cette équipe de vaurien est innocent ? Qui est coupable ?

En entendant ces mots, Mélina écarquilla les yeux. Qu'est-ce qu'elle devait faire ? Elle était prise pour quelqu'un d'autre, et tout ce qu'elle comprenait, c'était qu'elle ce retrouvait dans une sacrée galère. Qu'est-ce qu'elel devait faire ? Elle ne voulait pas qu'un inconnu meurt par sa faute ! Ce demandant si c'était cela le but de son épreuve, elle ce mit à songer que cette silhouette était vraiment tordue. En pensant cela, elle baissa un peu sa tête, ce qui lui permit de constater qu'elle ne portait plus ses habits habituels, et qu'à la place, elle portait une robe royal, qui lui faisait penser à celle de sa mère lorsqu'elle était en princesse de coeur, sauf que cette robe était dans un style beaucoup plus ancien et plus artisanal. Etant honnorée, et à la fois encore plus perturbée, Mélina comprit enfin qu'elle c'était temporairement retrouvée dans la peau d'une autre personne, mais dans quel but à part remporter l'épreuve ? La demoiselle ne savait pas trop ce qu'elle devait faire, mais à voir le regard inssitant de l'homme, elle devait ce dépêcher de lui donner une réponse.

"Excusez mon retard, je fouillais dans ma mémoire. Toutefois, malgré mon temps de réflexion, qui vous a sûrement paru être une éternité, les seuls coupables que je détecte, sont ceux qui s'acharnent sur la vie de ces miséreux !"

Mélina venait de ce prêter au jeu, et ce prenant vraiment pour une reine, elle ce comporta comme telle, sans pour autant oublier toutes les valeurs apprises par ses parents. En l'entendant dire ces mots, l'homme, qui semblait être le plus haut gradé de cette mauvaise troupe, et qui lui avait posé la question, eut l'air de ce retenir de tenter quelque chose de mal envers sa personne, elle le voyait à son regard. Il inspira, pusi il repri tla parole.

- Cela fait sept mois que vous me répéter pratiquement la même ritournelle ! Vous me rendez fou ! Personne ne viendra vous sauver et encore moins ces gueux qui ne méritent même pas votre clémence !

"Cela fait sept mois que j'espère, je ne vais pas stopper mes croyances parce qu'un imbécile me dit de le faire ! Je ne suis pas un messi, tout le monde a droit à la vie, la liberté et au bonheur. Qui êtes-vous pour juger avec aussi peu de vertu mon peuple ?"

- Il suffit ! Désignez ou nous le ferons à votre place !

"Très bien, dans ce cas, c'est vous qui perdrez la vie !"

Mélina était à fond dans son rôle, ce qui lui fit ce demander si dans une autre vie, elle n'avait pas déjà été reine. Cependant, elle ne pouvait s'empêcher de défendre ces gens, car elle ne voulait pas assister à une exécution, et de plus, elle n'aimait pas du tout comment l'homme s'exprimait. Peut de temps après avoir dit ce qu'elle pensait concrètement, l'homme ce mit à éclater de rire, puis lorsqu'il eut terminé, il scruta la jeune filel avec un air amusé.

- Depuis quand son altesse Mélias Rose sait-elle faire de l'humour ?

"Depuis que je suis capable de dicerner ce qui est bien ou mal et en l'occurence, ce que vous faites n'est pas une bonne action. Tant qu'un homme est vivant, il peut toujours racheter ses pêchés et devenir un homme bon et sage, devenez cet homme et arrêter de briser ces pauvres coeurs !"

- Vos dires m'arracheraient presque une larme, sauf que, voyez-vous, si la révolution existe, c'est parce que ceux qui tentent de ce faire passer pour des saints, maltraient et oppriment le peuple en l'empêchant de penser librement !

"Quoi ? C'est scandaleux ! Jamais je..."

- Allons, allons, ne vous offusquez pas, nous savons que vous avez toujours fait en sorte de défendre la moindre âme vivante à Luvalis, le problème, c'est votre mari et tous ses sous-fifres, d'ailleurs, je ne comrpend pas comment la reine de la bonté peut-elle être avec le roi de la cruauté.

"Si vous le connaissiez comme je le connais, vous ne diriez pas autant de sottises ! Vous, vous épuisiez pour rien mes pauvres"

Plus elle lui tenait tête, et plus elle obtenait des informations sur le caractère de Mélias Rose, d'ailleurs, elle avait le sentiment d'être vraiment cette personne, à cause de leur personnalité, qui avaient l'air très proche l'une de l'autre, ce qui lui fit penser qu'elle devait sûrement revivre un souvenir d'une des ancêtres de sa famille. Peut-être sa grand-mère ou arrière-arrière-grand-mère ? Mélina ne le savait pas, tout ce qu'elel savait était qu'elle ne ferait exécuter aucun innocents, et ce refus de coopérer semblait agacer l'homme.

- Dans ce cas, un innocent mourra et un bandit survivra. Lequel ? Dieu seul le sait... Puisque vous ne m'êtes d'aucune utilité, ces deux-la mourrons, et ces trois-là rejoindront notre camp !

"Je ne veux pas assister à l'exécution !"

- Une reine ne ce défile jamais !

"Vous ne pouvez pas faire ça ! Je vous l'interdis ! Que mes pouvoirs ce déferlent afin de punir vos attrocités !"

- Ce n'est pas possible, les menottes que vous portez bloquent vos pouvoirs.

Mélina était horrifiée, car elle comprenait très bien qu'elle avait perdu la partie. Cependant, elle ne cessait jamais d'espèrer que quelqu'un intervienne pour éviter le drame. Malheureusement, ce ne fut pas le cas, et sans qu'elle ne puisse rien faire, la miss assista à la mort de deux pauvres hommes. Mélina cria et s'évanouit.

Lorsque Mélina revint à elle, la miss pu ce rendre compte qu'elle ce trouvait dans une cellule. Soupirant, ce disant qu'après le traumatisme qu'elle venait de vivre, ça ne pouvait pas être pire, elle ce rendit compte, en voyant à travers la fenêtre sans barreaux, qu'elle ce trouvait bien trop haut pour pouvoir s'échapper en sautant, car si elle le faisait, elle risquerait de ce tuer. Scrutant alors la porte, avec des barreaux, elle comprit que par-là aussi l'accès n'était pas disponible pour une quelconque évasion. Soupirant d'exaspération, elle avait toujours la sensation de ce sentir terriblement faible, comme si elle n'avait plus d'énergie, ce qui l'embêtait un peu. Ce remémorant les dires de l'inconnu, dont les traits du visage lui faisaient penser à quelqu'un qu'elle connaissait, mais elle n'arrivait pas à dire qui cela pouvait bien être.

*Si cela fait sept mois que mon ancêtre est enfermée ici, vu comment il la traite, je comprend que je ne ressente pas mes forces habituelles... Du coup, je dois agir comment pour terminer mon épreuve ? La silhouette m'a dit que dans une situation très délicate, je devrais faire les bons choix, et je crois les avoir fait, mais cela ne semble pas être assez..... Que faire ?*

Pensa Mélina, en étant appuyée contre le mur qui était à côté de la fenêtre. Ne sachant pas quoi faire, et préférant attendre, elle ferma quelques instant ses yeux, tout en faisant ses vocalises.

- Même lorsque vous chantez vos gammes, je pourrais rester des heures à vous écouter, votre voix est tellement envoutante.

En entendant cette voix, la demoiselle sursauta et ouvrit à nouveau ses yeux. Le fixant alors avec un regard sévère, elle reprit la parole.

"Encore vous ! Vous n'avez pas des tâches plus importantes à faire que de m'écouter ?!"

- J'ai un peu de temps à tuer, alors je suis venu me divertir un peu. Sachez que nos rendez-vous sont une véritable mine d'inspiratio

"Certes, vous m'en voyez ravie..."

- Hm.... Si je puis me permettre, j'ai l'étrange impression que vous ne m'aimez pas

"Enfin nous partageons les mêmes pensées, il était temps !"

Mélina était assez froide envers cet homme, et ce dernier semblait être un peu déçu. Toutefois, lorsqu'il l'entendit émettre un faible rire, lorsqu'elle lui dit sa dernière réplique, il ne pu s'empe^cher de sourire un petit peu.

- Même s'il est moqueur, j'aime l'entendre. Votre présence m'a toujours redonné foi en le genre humain, et bien que devant mes fidèles, en privé, je ne suis pas le même homme, j'espère que vous le comprendrez enfin et qu'un jour, lorsque le peuple sera enfin libre, nous pourrions être ami, ce que j'ai toujorus espéré, bien que nos idéaux soient complètement à l'opposé.

En entendant ces mots, Mélina scruta intensément l'homme, qui à présent, lui faisait penser à John. Elle ne savait pas pourquoi, et pourtant, elle l'imaginait très bien lui dire ce genre de paroles. Elle ne savait pas quoi lui répondre. Est-ce que c'était ce qu'elle allait lui dire qui allait valider son épreuve ? Ne le sachant pas, elle le fixait toujours alors qu'il la regardait derrière la porte, en semblant être gêné. il était beau, et était très bien habillé, un peu comme les ducs des époques lointaines. Etant un peu plus grand qu'elle, et musclé, elle pouvait voir sa chevelure rougoyante, qui reflétait avec la lumière des torches, qui illuminaient le couloir, tout comme sa petite barbichette, qui lui donnait un petit côté machiavélique.

"V... Vous voulez être mon ami ? C'est très innatendu comme requête"

- Je le sais qu'elle n'est que folie, mais quand tout sera terminé, je serais un autre homme, un homme à la vertu aussi vertueuse que la votre... Si seulement elle pouvait être un exemple pour tous...

"Dans ce cas... Pourquoi ne pas tout arrêter dès à présent ? Qu'attendez-vous pour me donner de quoi écrire ?"

En voyant le regard aussi sincère de l'homme, une idée vint à l'esprit de Mélina. Si ce qu'il disait était vrai, alors pourquoi ne pas écrire une lettre adressée à son soi-disant mari pour que tout cesse ? En écoutant sa dernière réplique, l'homme lui lança un regard des plus attristé, ce qui étonna la jeune fille, qui vait le sentiment qu'il allait fondre en larmes

- Pauvre Mélias Rose, votre captivité ne semble pas être bonne pour votre mémoire. Vous avez déjà essayé, rien de bien ne s'est déroulé par la suite. Je suis condamné à devoir agir lamentablement pour qu'un monde meilleur voie le jour..

"Si vous me libériez, je pourrais faire changer les choses. J'instaurais une monarchie plus douce et plus ouverte d'esprit"

L'homme sourit face aux propos prononcés par la jeune fille, qui le firent sourire. La trouvant un peu trop naive de penser qu'elle pourrai ts'en sortir ainsi, il ne pu tout de même s'empe^cher d'être touché par ces dires.

- Parfois, on pourrait croire que vous n'êtes qu'une enfant, et pourtant, vous semblez si forte, si mâture. Je me demande comment vous faites pour continuer à vous obstiner autant alors que cela fait des jours et des nuits qu'on vous torture pour tenter de vous convaincre d'utiiser le sceptre magique, qui nous permettrit d'effacer les souvenirs de tout le monde afin de recommencer une nouvelle vie.

"Quelqu'un finira bien par me sauver et mettre fin à ce cauchemar. Je vous l'ai peut-être déjà dit, mais effacer la mémoire de quelqu'un n'est pas la meilleure des solutions"

Comprenant que si son ancêtre était en vie, ce n'étit pas que pour fair ede la dénociation, Mélina ce rendit compte que son ancêtre avait beaucoup de responsabilité sur les bras, et désormais, elle savait pourquoi personne ne pouvait obtenir ce sceptre sans être certain qu'il en soit fait un mauvais usage Ce demandant alors si ce n'était pas ça la clef de la validation de son épreuve, elle pu entendre le chef des révolutionnaires rire en hochant négativement de la tête, semblant encore lui faire comprendre que ce qu'elle pensait étai timpossible. Durant cette pensée, elle ce mit à songer que ses paroles de toute à l'heure étaient peut-être un leurre pour l'adoucir et l'inciter à utiliser le sceptre, mais elle avait des doutes, car il avait semblé être sincère. Essayant de capter les véritables sentiments de cet homme au caractère instable, elle ce mit à le fixer en ce demandant si cela valait la peine de continuer à lui parler ou si cela était nécessaire pour débloquer son pouvoir.

Alors qu'elle continuait à réfléchir, une nouvelle constatation lui vint en tête, mais elle sentait que les forces de son ancêtre étaient faibles, ce qui la poussa à ce laisser glisser le long du mur pour finir assie contre ce dernier en ayant l'air usée par la fatigue physique et psychologique.

"Et cette magie qui est en ma possession, personne d'autre ne peut l'utiliser ?"

En voyant le regard surprit de l'homme, elle ce rendit comtpe qu'elle venait de dire quelque chose qu'il ne fallait pas, mais puisque c'était dit, elle espérait qu'il ne ce doute de rien sur son identité et pense encore que c'était un problème d emémoire.

- C'est une vile plaisanterie que je viens d'ouïr ! Il n'y a que vous qui pouvez l'utiliser, personne d'autre ! Avec ce sceptre et la magie qu'il contient, nous aurions déjà changé l'histoire plus d'une fois, mais vous refuser toujours de l'invoquer et de vous en servir. Il suffit d'une simple phrase pour que vos pouvoirs soient à nouveau votre force

"Très bien, dans ce cas, je vais la dire cette fameuse formule magique !"

- Ce... C'est vrai ?

L'homme avait l'air très énervé par sa question, ce qui confirma sa théorie comme quoi elle venait de dir eune bêtise. En sachant cela, la miss ce mit à penser qu'au point où elle en était, elle pourrait tenter quelque chose pour ce sortir de ce pétrin, et tenter de valider la fin de sa quête. Lui disant ces mots avec un grand sourire, l'homme ne semblait pas croire à sa décision.

"Oui, je vais le dire tout de suite ! Je suis ok pour manger en tête à tête avec vous !"

En entendant sa phrase, et en entendant son rire, qu'elle ne semblait pas réussir à arrêter, l'homme était en train d'essayer de trouver la meilleure émotion, car d'un côté, il avait l'air énervé, et d'un autre côté, il avait l'air surprit. Au final, il choisit l'énervement, et en l'entendant donenr un coup de pied dans la porte, la demoiselle sursauta à nouveau, et ce tut, tout en gardant quand même son sourire sur ses lèvres.

- Cessez de vous jouer de mon coeur ! Je n'en peux plus de vos mauvaises réponses ! Vous m'excédez !

"Mon cher, je suis une reine prisonnière, la seule nourriture qui me semble être accessible est celle de l'esprit, et en ce moment, même un petit crouton de pain me paraîtrait un véritable festin, alors Firmin, si vous ne voulez plus m'entendre, soyez gentil et faites ce qui vous semble le plus juste !"

- Moi ? Un dénommé Firmin ? Quel déshonneur pour ma famille ! Soyez plus respectueuse je vous prie, et je ne suis pas votre serviteur !

Il avait l'air à nouveau vexé, mais en l'entendant rire à nouveau, il eut l'air gêné, ce rendant compte qu'elle avait dit ce smots pour l'embêter. Il parti en tournant les talons, ce qui laissait la demoiselle à nouveau seule. Cette dernière soupira, ce mettant à songer que son ancêtre n'avait pas eut une vie des plus aisées.

*Et si c'était ça mon épreuve ? Peut-être qu'en tenant jusqua'u bout, sans cèder, j'accomplirais ce qu'elle n'a pas réussi à accomplir ! Il ne faut pas que je craque comme elle l'a fait, sinon j'échouerais ! Par contre, ce qui est sûr, c'est que ma robe, je vais la garder en tête pour la redessiner plus tard, elle est trop belle !*

Ayant la sensation d'avoir trouvé ce qu'elle devait faire, Mélina avait l'air contente d'elle-même. Cependant, elle ne pouvait s'empêcher de penser à son style vestimentaire. Finissant par somnoler, elel e réveilal très vite lorsqu'elle entendit du bruit près de sa cellule. Voyant des os et un petit pichet d'eau passer à travers les barreaux, elle haussa un sourcil, semblant ne pas apprécier la façon dont l'un des membres des révolutionnaires venait de la traiter. Ce dernier le remarquant, eut l'air gêné.

- Excusez mon manque de manières, je ne fais qu'effectuer un ordre de mon supérieur.

"Et que t'a-t-il dit exactement ? Je ne pense pas que tu ais tout bien ouïs ce qu'il t'a dit"

- Nourrissez cette chienne avec les restes... Désolé votre altesse, il n'y a pas meilleure interprétation pour illustrer ses propos. Goûtez, c'est ce qu'il reste d'un excellent boeuf, vous ne résisterez pas longtemps à son délicieux fumet, qui vous convaincra même de manger les os !

"Soit, cela reste quand même peu et très humiliant, mais je ferais avec, merci quand même"

Mélina pensait que le chef des révolutionnaires lui en voudrait, mais à ce point, elle en était outrée. Il voulait devenir son ami, mais avec toutes les blessures psychiques qu'il lui faisait subir, elle ce doutait davantage que cette pseudo envie d'être son ami n'était que du mensonge afin de faire baisser sa garde. Après avoir presque rempé pour prendre la nourriture, lorsqu'elle fut devant cette dernière, elle pu voir le sous-fifre ce baisser pour être à sa hauteur.

- Mon altesse, votre calvaire est bientôt terminé. Votre gardien a mit en place tout un stratagème pour retrouver la base des révolutionnaires. Il est en chemin, avec votre mari et une armée bien préparée et prête à en découdre

"C... Comment le savez-vous ?"

- Son frère s'est déguisé et laissé capturé pour lui indiquer le chemin. Ils communiquaient souvent par la pensée, et c'est après avoir aidé à incinérer les corps que j'ai découvert son tatouage légendaire en forme de fer à cheval orange sur le bras, avec écrit en-dessous "J'ai de la chance de te connaître", son jumeau avait e même, mais de l'autre côté, pour que cote à cote, ils soient l'un contre l'autre. Il a donné sa vie pour sauver la votre. Ne vous sentez pas fautive, je pense sincèrement que ce n'est pas de votre faute s'il a perdu la vie.

C'est en chuchotant tous les deux que Mélina apprit ce qu'il était en train de ce passer. Elle voulait discuter encore un peu avec cet individu, qui semblait être bien renseigné, mais malheureusement, il ne resta pas longtemps en sa compagnie. Cette histoire ne plaisait pas à la jeune femme, car bien qu'elle n'était qu'une doublure retraçant les aventures de son ancêtre, elle ce sentait quand même impliquée, et elle ne voulait pas qu'il y ait des morts. C'est en suçant ses os qu'elle ce mit à songer si au final, ce n'était pas le choix de ses actions qui allait valider son épreuve, et de ce fait, elle avait la sensation que ce qui allait suivre risquerait d'être la phase la plus décisive pour l'obtention de son pouvoir.

Une fois son maigre repas terminé, la miss pu entendre que le vent c'était levé. L'orage commençait à gronder, l'empêchant d'entendre ce qu'il ce passait à l'extérieur. Ce demadnant si la foudre allait tomber ou pas, la demoiselle sursauta lorsque soudain, elle entendit une détonation qui fit trembler le bâtiment dans lequel elle ce trouvait. Des cris lui parvinrent aux oreilles, et lui firent froncer les sourcils. La bataille entre les deux camps enenmis venait de débuter et elle n'avait rien pu faire pour empêcher que cet évènement ait lieu, ce qui la faisait s'énerver contre elle-même.

*C'est pas vrai ! Moi qui voulait empêcher qu'une telle chose arrive, et bien c'est totalement raté ! J'espère que ce n'est pas entièrement basé sur ça la validation de mon épreuve, sinon c'est foutu !*

Ce lamentant mentalement, Mélina émit un petit cri de terreur en voyant que la foudre venait de tomber non loin du champ de bataille. N'étant pas sereine, surtout en entendant les affrontement des nombreux combatants, Mérlin le fut encore moins lorsqu'un autre éclair retentit, faisant à nouveau trembler le bâtiment, qui fini par faire tomber l'une des torches qui illuminaient le couloir, ce qui commença à embrasé petit à petit tout ce qu'il ce trouvait sur son chemin.

"Non ! Je ne veux pas mourir prématurément ! Hé ! Venez sauver votre reine !!!"

S'exclama Mélina en paniquant. Elle scruta alors la fenêtre, comme si elle n'avait trouvé que cette solution pour sauver sa propre peau, mais les flammes n'étant pas encore trop hautes, elle décida d'attendre quelques minutes. C'est au bout de quelques minutes qu'elle vit rappliquer le chef des révolutionnaires, qui semblaient avoir d'autres plans pour elle, à voir la tête qu'il faisait, mais en voyant le feu, il ce précipita pour ouvrir la cellule. A cause des flammes, il avait le corps un peu brûlé, mais cela allait, il était encore en état de pouvoir la secourir, ce qui fait que la demoiselle eut un grand sourire.

"Vous voyez ? J'avais raison ! Quelqu'un est venu me sauver, et bien que cela soit très étonnant, c'est vous qui jouer au héro !"

- ne dites pas de sottises, je ne suis pas un héro. J'étais venu pour vous mettre ailleurs, le temps que l'on trouve une nouvelle base, mais on dirait bien qu'en effet, j'arrive à point nommé pour vous sauver.

Au moment même où il voulu s'approcher pour la prendre dans ses bras, des bouts de plafonds s'écroulèrent et leur bloquèrent la sortie. L'homme ce fit blesser et brûler encore plus. Tombant presque sur la jeune femme, cette dernirèe fit un grand effort pour le relever, ce qui fait qu'il ce retrouva assit à côté en ayant ses mains dans les siennes.

- Je suis désolé Dit-il d'un ton faible en la regardant avec un air vraiment désolé J'ai tenté de vous protéger, car vous êtes importante... Hélas je n'y suis pas arrivé. J'admet que j'ai adoré l'aventure à vos côté... Ainsi ce termine-t-elle comme la triste fin d'un roman romanesque.

"Hé ! N'abandonnez pas ! Libérez-moi et nous serons sauf ! Dit Mélin en ayant l'air très sérieuse Je vous promet qu'il n'y aura pas d'entourloupes !"

- Oui c'est cela ! Après tout ce que je vous ais fait, comment pourrais-je avoir confiance en vous ?

"Parce que même votre vilainie peut être pardonnée si vous faites tout pour bien vous comporter une fois que nous serons hors de danger. S'il vous plait ! Notre destin n'est pas de mourir calciné !"

- Et quel est-il ? Lui demanda l'homme avec un regard rempli d'espoir

"Notre destin est de faire en sorte que cette histoire ne soit plus qu'une mauvaise mésaventure et une bonne leçon pour les générations futures ! A présent, cessez de discuter ! les clefs je vous prie !"

Après avoir bien insisté, l'homme fini enfin par lui enlever ses menottes, bien que cela ait l'air compliqué à cause de la chaleur et du stress que le duo ressentait. Une fois libre, Mérlinas senti sa force et la magie revenir en elle, ce qui la faisait ce sentir mieux. Cependant, ne sachant pas comment activer les pouvoirs de son ancêtre et surtout, elle ne savait absolument pas comment faire apparaître le sceptre qui chasserait les flammes et leur sauverait la vie, ce qui la faisait paniquer, car le temps lui manquait. Ne sachant pas quoi faire, elle prit une grande inspiration et ce mit à chanter cette chanson :


Fermant les yeux, la jeune reine chanta de tout son coeur, ce qui, petit à petite, fit apparaître un magnifique sceptre irradiée de lumières. Ouvrant les yeux après avoir avoir termin sa chanson, la miss fit un grand sourire à l'homme

"A présent qu'il est là, tout ira bien. Voilà pourquoi il faut toujorus espérer et ne jamais renoncer !"

Quelques secondes après avoir dit ces mots, Mélina ce senti comme happée dans un grand tourbillon de lumirèes, qui lui donnait la sensation de tomber. Ne sachant pas comment bien agir, elle ce laissa faire. Lorsque cette sensation s'arrêta, elle pu ce rendre compte qu'elle ce trouvait à nouveau dans le même endroit où elle avait vu la silhouette qui l'avait envoyée faire son épreuve. Ce sentant enfin elle-même, Mélian ce leva et fit face à la même silhouette que tout à l'heure. En l'observant attentivement, la future gardienne ce rendit comtpe que cette dernière prenait des couleurs et lorsque l'obscurité fut entièrement chassée de son guide, Mélina ne pu s'empêcher d'avoir un air surprit, car elle la reconnu. La personne qu'à présent elle avait en face d'elle n'était nulle autre que celle dont elle avait emprunté l'identité.

Mélias Rose ce trouvait devant Merélindas Rose, la fixant avec un sourire et un regard bienveillant, ce qui ne laissait pas indifférente la principale intéressée, qui avait l'impression de voir sa mère dans sa robe de princesse de coeur venue d'une époque lointaine.

"Mélias Rose ! C'est votre histoire que je viens de vivre, c'est bien ça ?"

- Oui, bien que tu l'aies modifiée à plusieurs reprises. Je t'en prie, tu es une descendante du peuple Luvalicien, tu peux m'appeller grand-mère, cela ne me dérange pas.

"D'accord... Euh... Hum... Je voulais savoir si mon épreuve était validée."

- Non, elle ne l'est pas.

"Mais... Pourquoi ? S'indigna Mélina en ayant l'air déçue Je... J'ai assisté à la mort de gens innocents, j'ai été humiliée... Je... J'ai vécu un gros choc psychologique et j'ai tenu le coup ! Poursuivit la jeune fille avec une voix tremblante, comme si elle était su rle point de pleurer à cause de l'émotion Je ne comprend pas ! Qu'est-ce que j'ais fais de faux ?"

En voyant le désarrois de la jeune fille, la défunte reine ne perdit pas son sourire pour autant. Elel comprenait tout à fait sa réaction, car tout ce qu'avait vécu la demoiselle, elle l'avait déjà vécu, alors elle ne pouvait qu'être remplie de compassions pour Mélina. Elle s'approcha un peu plus de sa descendante et mit ses mains sur ses épaules.

- Je le sais que c'était très dur psychologiquement, et je comprend que tu sois indignée. Cependant, l'histoire n'est pas terminée

"Elle n'est pas... Mélina laissa sa phrase en suspend, regardant la femme avec un regard rempli d'incompréhension Qu'est-ce que ça signifie ?"

- Eh bien, c'est très simple, il reste encore une dernirèe chose à faire pour me décider à valider ou non ton épreuve. Bonne chance !

Ne laissant pas le temps à la jeune fille de protester, la reine défunte lui fit un enième sourire, puis elel disparut à nouveau. L'endroit changea à nouveau, et Mélina pu constater qu'elle était à nouveau dans le corps de son ancêtre, et qu'elle était retournée dans sa vieille époque. Ce demandant ce qu'elel devait encore faire pour contenter la vieilel reine, Mélina ce mit à attendre la suite, et sûrement la fin des terribles bribes de souvenirs que son ancêtre lui faisait vivre.

Mélina constata que l'orage était passé et que tout semblait avoir été reconstruit, d'ailleurs, il lui semblait qu'il y avait bien plus de monde qu'elle ne le pensait. Dans la foule, elle pu ce rendre compte que les hommes qui avaient été tués avaient retrouvé la vie. En continuant de braquer ses prunelles un peu partout, elle comprit que les deux seules personnes qui étaient vraiment mal en point étaient le chef des révolutionanires et elel-même, ce qui l'étonna, et lui fit ce demander si cela n'avait pas un rapport avec le sceptre. Est-ce que son ancêtre avait utilisé trop de magies ? Elle ne ce posa pas longtemps des questions, car la voix de la personne qui la tenait amoureusement dans ses bras, raisonna comme un coup de tonnerre dès qu'il remarqua que le rouquin respirait encore.

- Jetez-moi ce bon à rien au cachot ! Qu'il souffre de la même manière qu'il a fait souffrir ma reine !

"Non ¨"

Tout le monde sursauta en entendant la protestation de la jeune femme, qui fut tout autant surprise qu'eux, surtout en ayant entendu sa voix qui avait surgie comme un miaulement de chaton, ce qui ne rendait pas du tout crédible ses convictions, mais tant pis, si l'attention de tout le monde avait été retenue, c'était ce qui comptait le plus.

- Pourquoi ? Pourquoi devrais-je faire preuve de clémence alors que tu as l'air d'être sur le point de t'éteindre ? Ma lumière, j'ai toujours eus besoin de ta clarté, tu ne peux m'abandonner et laisser ce vaurien s'en sortir sans punitions !

"Il est peut-être temps d'avoir un esprit plus ouvert et de t'adapter aux différences des autres, et d'écouter un peu plus ton peuple... Cet homme ne voulait qu'un monde plus juste, il avait de bonens convictions, mais il n'a pas su comment bien s'y prendre. A présent que tout est rentré dans l'ordre... je souhaite simplement qu'on lui donne une deuxième chance.... Interdit-moi de mourir, donne-moi la force de croire que Luvalis sera un monde encore plus chaleureux qu'il ne l'est déjà... Promet-le-moi et embrasse-moi, c'est tout ce qui m'importe..."

Comprenant très bien que c'était le roi qui la tenait dans ses bras, et qui s'énervait depuis toute à l'heure, Mélina, dans son rôle de reine, réussi à le calmer, et même à le faire pleurer, car elle pouvait voir que quelques petites larmes s'éaient formées dns ses yeux, lui montrant qu'il n'était pas insensible à ses dires. Après l'avoir embrassée, il ce ressaisit, puis il ce redressa et scruta tout le monde.

- Emenez plutôt cet homme ce faire soigner ! Nous parlerons de son cas plus tard, s'il survit ! Venez, nous n'avons plus rien à faire, rentrons tous ensemble au château pour annoncer le début d'une nouvelle ère !

C'est après avoir dit ces mots que Mélina ce fit à nouveau téléportée dans l'endroit lumineux. Le décort et les personnes ayant disparus. Ce retrouvant à nouveau en face de son ancêtre, tout en ayant retrouvé son corps, la jeune fille pu ce rendre compte qu'elle aussi avait été très émue par ce qu'il c'était passé, mais elle ne perdit pas la face et ce contenta de sourire à Mélias Rose.

Maintenant, Mélina pensait que son épreuve était définitivement terminée. Il n'y avait rien qui pouvait laisser penser le contraire, et après ce magnifique happy end, la fille aux cheveux roses ce disait que plus rien ne lui serait demandé. Scrutant le spectre avec le même regard rempli de larmes, elle osa rompre le silence qui c'était installé depuis qu'elle était revenue de son périple.

"C'était une fin digne d'un film à succès ! Au final, pépé il a retourné sa veste et je pense qu'après, vous avez eut une vingtaine d'enfants, trop top !"

- Malheureusement, je n'en ais eus que douze, Vivaldus a dit que c'était assez

Disant ces mots avec un grand sourire, tout en pensant que ce qu'elle disait serait à moitié juste, la fille de Sora et de Kairi fut surprsie d'entendre que son ancêtre avait véritablement eut beaucoup d'enfants.

"Oh c'est vraiment une obssession de mère en fille cette histoire d'avoir beaucoup d'enfants ! Je pense que si papa ne l'avait pas freinée, elle en aurait eut le même nombre ! Et dire que moi ça me vient même pas à l'esprit, ça me désolerait presque de casser la chaîne !"

- Ma petite, ce n'est pas le nombre qui compte, c'est le temps consacré pour l'éducation et l'amour qu'on donnera à volonté.

Mélina était très gênée par ce qu'elle venait d'avouer à la vieille femme, qui avait gardé son apparence de jeune femem pour s'adreser à sa descendante. En la voyant sourire, la jeune fille avait la sensation de créer un lien de complicité avec cette dernière, et de plus, avoir partagé son histoire et son corps n'allait pas l'aider à ne pas s'y attacher, et pourtant, elle savait très bien qu'elle ne le devait pas, car sinon, elle allait avoir du mal à lui dire au revoir au moment venu. Mélina avait mit tellement de coeur à l'ouvrage qu'elle avait oublié qu'ailleurs on attendait son retour, et c'était pour cette raison qu'elle s'était autant appliquée dans sa tâche.

- Bien, si on en revenait au sujet initial ?

En voyant son regard changer d'expression pour devenir plus dur, Mélina comprit qu'il n'était plus temps à la plaisanterie et qu'elle allait enfin avoir une réponse concernant son épreuve, ce qui la rendit tout d'un coup très nerveuse.

- Je tiens tout d'abord à m'excuser de t'avoir fait endurer toutes ces horreurs. Le but de l'épreuve était de savoir jusqu'où iraient tes convictions en te plongeant dans la plus cruelle des tortures mentales, et je dois avouer que je suis très impressionnée. Tu as réussi à tenir le coup et j'en suis très fière. Si seulement j'avais agis comme toi, Luvalis s'en porterait mieux, mais comble de malchance, je n'avais que la moitié de ton courage.

"Vous voulez dire que..."

- Hélas, le pauvre a fini au cachot. Il a faillit mourir plusieurs fois de ses blessures, et pourtant, il a survécut ! Il a été libéré dix ans plus tard. Ce n'est que lorsque notre fils a prit la tête de notre monde qu'ila commencé à évoluer petit à petit pour devenir bienveillant et prospère, jusqu'à ce que les maudits habitants du monde d'à côté viennent pour tenter de nous envahir. Voilà, tu sais tout à présent. J'espère que tu ne me déteste pas.

Mélina, en buvant les paroles de son ancêtre, était captivée par son récit, jusqu'à ce qu'elle lui avoua la vérité. Etant effarée, la jeune fille lui coupa la parole, et Mélias la reprit bien vite, lui expliquant tout ce qu'il c'était passé, ayant l'air véritablement désolée, tout en ayant l'air de ce sentir fautive. Mélina prit un très long moment de réflexion, et au bout d'un moment, elle la prit dans ses bras en ayant les larmes qui coulaient de ses yeux.

"Le passé est le passé, il ne peut pas être changé, et j'espère très sincèrement que cette sombre histoire ait servie à tout le monde de leçon et qu'elle ne ce répétera pas. Je ne peux pas détester quelqu'un qui a autant souffert. Tu es ma mémé et je suis certaine que j'ai hérité de tes bons et de tes mauvais cotés, ce qui me rendrait très fière ! Par contre, je veux savoir comment s'appelait le chef des révolutionnaires, il a sûrement un nom, et je n'ai pas envie de partir sans le connaître"

- J'en suis aussi certaine que toi Dit Mélias en sanglottant un peu, ayant l'air très émue par les paroles de Mélina. Tentant de ce reprendre, elle poursuivit Il s'appelait Jonas Emille Shym's. A la base, il était venu d'un autre monde pour rendre visite à ma soeur, avec qui il était très ami. En voyant comment ce comportait mon mari avec le peuple, cela à commencé à lui prendre très à coeur de faire quelque chose pour l'aider à aller mieux, et tu connais la suite.

C'est en entendant cette révélation que Mélina arrêta de pleurer. Scrutant son ancêtre avec un regard rond d'étonnement, elle fini par comprendre pourquoi les traits du visage de cet homme lui rappelait quelqu'un. Soudain, la phrase qu'avait prononcée John lui revint en tête. L'histoire allait-elle donc ce répéter ? Ce faisant alors du souci pour le jeune homme, Mélina espérait qu'entre-temsp, il ne lui soit rien arrivé, mais le sourire qui venait d'apparaître sur son doux visage ne s'effaça pas pour autant.

"Je connais son descendant ! Comme lui, c'est une tête brûlée qui veut faire en sorte que la justice règne ! Mémé, on est même sorti ensemble ! Cependant, il a fait l'idiot et il a tout gâché ! J'ai enfin fini par lui pardonner, je me suis même inquiétée pour lui, mais je ne peux pas retomber amoureuse, car mon coeu rs'est tourné vers un autre prétendant !"

- Je le sais. Angel Rose m'a beaucoup parlé de toi, elle a toujours veillé sur ta vie, et elle regrette que tu ais grandis, car tu n'arrives plus à la voir et à discuter avec elle.

"Et moi qui croyait que ma maman me racontait n'importe quoi en disant que quelqu'un veillait sur moi ! Dit-lui que je suis désolée, et que je vais me rattraper en demandant à Shibumi comment elle fait pour communiquer avec les esprits !"

- Ce n'est pas la peine, elle s'en doutait bien, et elle sait également que ce n'est pas une bonne idée d'invoquer les esprits, de ce fait ta grand-mère préfère continuer de prendre de tes nouvelles à sa manière, mais bon, trêves de bavardages à son sujet, car sinon je vais finir par oublier la raison de ta venue.

"Attend ! Je voulais aussi savoir pourquoi..."

- Elle ne connaissait pas ton grand-frère à cause de Xéhanorth et ton petit-frère, il n'était pas accessible et elle l'a connu bien trop tard. Et pour ton coeur, ne t'en fait pas, la formule magique s'en ira dès que Marine aura réussi à rompre le sort, et non, ça ne me dérange pas, tu aimes qui tu veux.

Etant redevenue très sérieuse, Mélias Rose, après avoir bien discuté avec sa descendante, redevint très sérieuse. Mélina tenta de lui poser des questions qu'elle avait oubliées de lui poser, et sans lui laisser le temps de les poser, Mélias y répondit, avec un petit sourire amusé avant d'être à nouveau sérieuse. Elel fit ensuite apparaître une boule lumineuse devant les yeux fascinés de la jeune filel aux cheveux roses.

- Ma chère petite Merélindas Rose, jure devant tout ce qui t'es le plus cher que jamais tu n'utilisera ce pouvoir à des fins malhonnêtes et que quoi qu'il arrive, que tu ne cesseras jamais d'espérer

"Je le jure !"

- Très bien, touche ce pouvoir pour devenir la future gardienne de l'espoir

"Et avec ce pouvoir je deviendrais la reine de Luvalis et cheffe des gardiens de la lumière ?"

Le moment était très solonnel, le spectre était devenue aussi sérieuse que si elle devait remettre la médaille du mérite, mais malheureusement, Mélina cassa l'ambiance en faisant échapepr un rire à Mélias, qui ce reprit très vite, bien qu'un petit sourire ornait toujorus son visage bienveilalnt.

- Ne grille pas trop vite les étapes, de plus, tu n'es pas sensée devenir reine, un haut grade te suffira.

"Oh non ! Me dite pas que c'est cette chiffe molel d'Anarkia qui va reprendre la direction du royaume ? Bah dis donc, on est pas prêt de gagner la guerre... Ah oui pardon ! L'espérence ! On ne perdra que la moitié du royaume !"

- Arrête d'embêter ce pauvre garçon et saisit ton pouvoir !

"D'accord. Vu que je ne sais pas ce qu'il va ce passer. Autant te le dire tout de suite. J'aurais bien aimé pouvoir te parler plus longtemps. Bye-bye mémé Mélias !"

- Au revoir ma belle rose de l'espoir.

Mélias ne réussi pas à s'empêcher de rire lorsqu'elle entendit les mots de la jeune fille, qui ce reprit de suite en ce souvenant qu'elel avait juré de toujorus espérer. Prenant son ancêtre dans ses bras une dernirèe fois, elel ce tourna vers le pouvoir, puis elle le toucha. Le sentant rentrer dans son corps, elle ce senti en même temps téléportée.

HS : RP terminé ^^